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L’expérience d’Arima conseils en médiation lors de conflits interpersonnels ou inter-groupes nous a démontré que les résistances face au processus de médiation sont multiples et qu’elles proviennent de plusieurs sources. Peu importe le secteur, le niveau d’activités ou de responsabilités, les perceptions face au processus de médiation génèrent des craintes importantes. On constate que lorsque l’approche de médiation et les objectifs poursuivis ne sont pas connus, les tensions existantes sont plus fortes. Dans le même ordre d’idées, l’absence de collaboration entre les parties patronale, syndicale et les ressources humaines, devient un catalyseur de résistances pour les personnes en conflits.

Le(la) médiateur(-trice) doit exercer une influence importante pour aider les parties à mieux comprendre les objectifs et la méthode utilisée en médiation. La collaboration de tous les acteurs en milieu de travail constitue un levier essentiel pour assurer le succès de l’intervention. Le(la) médiateur(-trice) se doit d’être à l’écoute des résistances du milieu et agir comme facilitateur(-trice) dans la recherche de solutions. Il est possible ainsi de diminuer les résistances personnelles et organisationnelles pour augmenter la collaboration et la motivation de tous.

Voici les résultats d’un sondage sur les résistances à la médiation dans les milieux de travail réalisé par l’Institut de médiation et d’arbitrage du Québec lors du Colloque du 8 avril 2011.

Bonne lecture!
Ginette Soucy et Marie-Josée Drouin